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Qu'entend-on par protection des plantes?
Pourquoi l’agriculture moderne a-t-elle encore besoin de produits de protection des plantes ?
On oublie facilement qu’au cours du cycle agricole, nos aliments sont encore souvent la proie de ravageurs, tels que des insectes, des champignons et des mauvaises herbes. Dans le jardin, p.ex., il est facile de constater les dégâts qu’ils sont susceptibles d’occasionner aux plantes, fruits et légumes. Si nous transposons cette situation à l’ensemble de l’agriculture, les dégâts ainsi causés sont considérables pour le rendement, plus particulièrement pour la quantité et la qualité des aliments qui seront disponibles sur le marché, ainsi que pour le revenu des agriculteurs.
Pour produire des aliments de qualité supérieure, sains et suffisamment sûrs, il convient de s’attaquer à ces ravageurs.
La protection des plantes combine les innovations de la science et de la technologie pour protéger la récolte des agriculteurs contre les nombreux ravageurs et maladies qui menacent la qualité et la sécurité des aliments.
Sans l’application judicieuse de produits de protection des plantes, les agriculteurs constateraient rapidement que leur récolte est endommagée, de sorte qu’elle ne rapportera que très peu ou qu’elle ne sera même plus vendable. Par conséquent, les agriculteurs gagneraient sensiblement moins ou pourraient même tomber en faillite.
Quels sont les avantages des produits de protection des plantes ?
Parce qu’ils luttent contre les maladies, les ravageurs et les mauvaises herbes, les produits de protection des plantes contribuent à la production suffisante d’aliments variés et abordables. L’approvisionnement alimentaire est très vulnérable, même si le consommateur occidental ne s’en rend pas compte.
Parce qu’ils permettent aux agriculteurs de proposer suffisamment de produits de bonne qualité, ces produits fournissent une contribution positive à l’approvisionnement alimentaire.
L’utilisation des produits de protection des plantes permet d’éviter le travail manuel lourd, comme le désherbage, et rend le travail plus agréable. Ce qui est très important puisque l’embauche de travailleurs est difficile, certainement pour le travail saisonnier.
Grâce à la mise en œuvre durable des produits de protection des plantes dans les pays en voie de développement, les pertes de récolte peuvent y être limitées, ce qui permet d’y augmenter la production alimentaire.
L’optimalisation du rendement des terres cultivées existantes nous permet de maintenir la biodiversité et de ne plus devoir défricher des bois ou des forêts pour les exploiter comme terres cultivables.
Les produits de protection des plantes nous permettent de conserver la santé, la sécurité et la beauté des espaces verts publics et de nos jardins.
En raison de la sélection naturelle, les mauvaises herbes, les maladies et les ravageurs sont susceptibles de développer une résistance contre ces produits. Pour garantir l’approvisionnement alimentaire, l’industrie doit continuer à chercher de (nouveaux) produits et procédés.
L’accroissement des connaissances en matière de protection des plantes aboutit à de nouveaux produits qui sont axés de plus en plus spécifiquement sur la lutte contre une maladie donnée, un ravageur donné ou une mauvaise herbe donnée, et leur utilisation combinée s’effectue avec une sécurité croissante pour l’homme, l’animal et l’environnement.
La recherche est stimulée par la demande continue de produits toujours meilleurs et plus efficaces.
Outre de nouvelles substances actives, l’industrie développe aussi de nouvelles formulations et de nouveaux emballages de sorte que les produits agissent plus efficacement dans différentes conditions atmosphériques et qu’ils peuvent être appliqués facilement et en sécurité.
Lorsqu’elle développe des produits de protection des plantes, l’industrie choisit des matières premières et des additifs, ainsi que des formulations et emballages qui ont un minimum d’impact sur l’homme, l’animal et l’environnement.
Utilise-t-on encore de vieux produits actuellement?
Les vieux produits en vente sur le marché sont autorisés et leur utilisation est donc reconnue légalement. Tous les produits sont évalués au bout d’un certain nombre d’années afin de vérifier s’ils satisfont aux normes actuellement en vigueur pour l’homme, l’animal et l’environnement. Les vieux produits qui répondent aux exigences modernes peuvent rester en vente sur le marché.
À tout moment, les autorités d’agréation peuvent interdire des produits ou demander des informations complémentaires sur chaque produit. Elles le font dès qu’il y a une raison d’inquiétude.
L’industrie avisera immédiatement les utilisateurs finaux aussitôt que l’utilisation de produits de protection des plantes présente, dans la pratique, des risques ou des problèmes imprévus pour l’homme, l’animal ou l’environnement.
Les titulaires d’agréation ont l’obligation de signaler sur-le-champ tout résultat de recherche négatif concernant des produits.
Qu’advient-il des produits excédentaires ou interdits ?
Les produits interdits sont retirés au plus vite du marché et les agriculteurs disposent d’un certain délai pour les utiliser. En l’absence de tout délai d’utilisation, l’industrie reprend les produits. Les services d’inspection de l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA) contrôlent si les produits interdits sont retirés à temps du commerce.
Le calcul correct de la quantité nécessaire et une politique d’achat judicieuse permettent d’éviter tout excédent de produit inutilisé. Ceci représente en outre une économie d’argent.
Les agriculteurs, horticulteurs et autres utilisateurs professionnels sont tenus de remettre les produits interdits ou inutilisables à Phytofar-Recover. Depuis 1997, Phytofar-Recover organise la collecte et le traitement des emballages vides pour le secteur professionnel en Belgique. Avec plus de 90% d’emballages vides collectés, le Belgique se trouve au top mondial. La collecte des emballages vides s’effectue annuellement, celle des produits inutilisables tous les deux ans (les années impaires, p.ex. 2009). Depuis 2007, Phytofar-Recover insiste dans sa communication sur l’importance d’un rinçage et d’un tri adéquats. Grâce à cet effort demandé aux utilisateurs professionnels, la quantité de fraction non nettoyée baisse, et la part de fraction rincée, qui peut être traitée comme des déchets non dangereux, est beaucoup plus grande. Ces actions entreprises par Phytofar-Recover s’intègrent parfaitement dans la stratégie des bonnes pratiques agricoles.
Le grand public qui détient des produits interdits ou inutilisables et des emballages vides, peut les déposer avec les petits déchets chimiques recueillis par la commune (parc à conteneurs).
L’industrie a développé des formulations et des formes d’emballage qui font en sorte qu’il ne reste pratiquement plus de résidus du produit dans l’emballage.
Les services d’inspection de l’Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA) veillent à ce que les règles soient respectées. En outre, des partenaires de la chaîne alimentaire, des compagnies de distribution d’eau et des compagnies de distribution d’eau potable contrôlent nos aliments et l’eau.
Qu’est-ce que l’utilisation illégale ?
L’utilisation illégale prend différentes formes : des produits qui ne sont pas autorisés en Belgique sont achetés illégalement à l’étranger et utilisés en Belgique, ou des produits sont utilisés incorrectement (dans le non-respect des prescriptions), ce qui augmente le risque d’incidents.
L’industrie fournit un encadrement et un support au produit afin d’avoir la garantie maximale qu’il sera appliqué selon le mode d’emploi légal. Les agriculteurs ont l’obligation légale d’appliquer ces instructions d’emploi.
Le service d’inspection de l’AFSCA vérifie que le produit est appliqué conformément à l’étiquette.
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